Tomographie volumique numérisée en endodontie Les images cliniques ont été gracieusement mises à disposition par Oscar von Stetten, clichés réalisés avec le Veraviewepocs 3D F40.


Exemples de cas particuliers :

Cas 1 :

Le premier cas concerne une patiente se plaignant depuis environ 1 an de douleurs au niveau de 24, 25 et 26. Une pression sur 26 a été décrite, des battements intermittents ont été relevés en cas de sollicitation, d'intensité variable forte ou faible. Au cours des deux derniers mois, la fréquence des douleurs a augmenté. Le test de sensibilité (électrique et thermique) n'a permis de conclure à aucune pathologie, le test de percussion axiale n'a révélé aucune sensibilité et les profondeurs de sondage étaient conformes. La responsabilité du dysfonctionnement cranio-mandibulaire existant est exclue. La radio classique montre la dent 24 car la patiente décrit une sensibilité à la pression au niveau de cette dent et débutant au palais. Le cliché ne révèle aucune particularité (cas 1.1) tout comme l'examen clinique approfondi.


Le 3e quadrant est normal à l'examen clinique. Un CBCT des deux quadrants et le sinus avec champ de vision 4x8 (FOV) est envisagé. La direction des douleurs du maxillaire inférieur vers le maxillaire supérieur mais aussi inversement rend la saisie des deux quadrants intéressante. Contre toute attente, une résorption palatine est diagnostiquée en 24, ce qui explique les douleurs de la patiente (cas 1.2, 1.3). Il est ainsi possible d'éviter un traitement ex juvantibus long et difficile.

 

Cas 2 :

Dans le second cas, la réalisation d'un CBCT est décidée en raison de la structure difficilement reconnaissable en direction apicale de la dent 16 (cas 2.1).

On soupçonne une fusion et une anatomie complexe. L'analyse du cliché CBCT permet de mesurer et d'identifier clairement la furcation des largeurs de molaire 1 et 2 (cas 2.2, 2.3).

 

Le volume de substance à éliminer et la direction peuvent être établis dès le début sans crainte d'une perforation. Il est impossible de dire si la détection de cette configuration en genu valgum (20) aurait été sans difficulté à l'examen clinique et ce, malgré l'utilisation du microscope dentaire (cas 2.4)


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